Des isothérapies pour lutter contre les effets pervers des vaccins
Aujourd’hui, selon les sources officielles, 71 % de la population française (presque 48 millions) ont reçu au moins une injection de vaccin anti-covid, dont près de 63 % ont effectué un rappel. Un certain nombre se plaignent d’effets indésirables. Une isothérapie pourrait sans doute les aider… mais peut-être aussi prévenir tout ou partie de cette situation ?
J’ai déjà parlé de cette possibilité thérapeutique dans un précédent article : « Que peuvent faire les vaccinés pour neutraliser les effets nocifs des vaccins sur tous les plans »
Lorsque j’exerçais, j’ai souvent utilisé des isothérapies pour lutter contre les effets secondaires des vaccins… même des années plus tard. Le principe consiste à redonner le vaccin à doses infinitésimales pour neutraliser voire éliminer les restes des vaccins.
Une loi biologique énonce que pour une substance donnée « Il y a toujours une inversion de l’effet en fonction de la dose« . Si elle produit une action à dose pondérale, elle génèrera l’action inverse à dose infinitésimale (de l’ordre du milliardième de milliardième de milligramme et davantage). C’est sur ce principe que fonctionne l’isothérapie.
Plusieurs possibilités d’utilisation
En ce qui concerne les vaccins, il est possible d’utiliser les isothérapies dans 3 situations distinctes :
1. Au moment de la vaccination pour limiter le risque d’effets négatifs.
2. A la suite d’un vaccin même des semaines ou des mois après et même en dehors d’effets indésirables… d’autant que ceux-ci peuvent survenir à distance dans certains cas. C’est pourquoi, il serait conseillé de la prendre de manière systématique, d’autant qu’elle ne présente pas de contre-indication, ni d’effet indésirable.
3. En cas d’effet indésirable au vaccin comme une fatigue persistante, une perte d’odorat, des troubles cutanés, des allergies, des rhumatismes, etc. L’isothérapie améliorera la situation… peut-être même la solutionnera-t-elle comme je l’ai constaté dans certains cas pour d’autres vaccinations.
Notes importantes
Mais attention, l’isothérapie n’est pas pour autant une panacée. Elle sera un « plus » pour les vaccinés, sans pour autant forcément solutionner tous les problèmes, notamment ceux concernant les composants de certains vaccins. Donc, ne pensez pas qu’en prenant une isothérapie en même temps que le vaccin qui vous est fait, vous serez à l’abri de tous les problèmes. Cependant, son aide n’est pas à négliger…
Nous trouvons aujourd’hui en France et en Belgique (sans doute en Suisse) des pharmacies qui produisent des isothérapies pour les vaccins anti-covid utilisés dans notre pays. Renseignez-vous dans votre pharmacie habituelle ou recherchez sur internet, parce que certaines pharmacies proposent des vente par correspondance.
Je vais vous indiquer ci-dessous deux protocoles selon les situations. Je conseille d’utiliser des dilutions korsakoviennes (K) qui sont à moins avis plus réactives que les Hahnemaniennes (H). Pour comprendre, la différence, lire l’article « En homéopathie, que signifient le chiffre et les lettres sur les remèdes ».
Je rappellerai aussi que les remèdes homéopathiques doivent impérativement être pris à jeun, soit 20 à 30 minutes avant un repas, soit 2 à 3 heures après. Il faut verser l’ensemble des granules du tube-dose directement dans la bouche sans y toucher avec les doigts et les laisser fondre sous la langue.
Dans le texte suivant, le mot « isothérapie »… signifie « isothérapie de tel vaccin » (Pfizer, Moderna, AstraZeneca, Janssen) selon celui qui sera ou qui a été injecté.
Protocole en cas de vaccination ou de rappel de vaccination
Isothérapie 30 K la veille ou au plus tard le matin de l’injection.
Isothérapie 200 K : le lendemain de l’injection.
Isothérapie 10.000 K : quatre jours après l’injection.
Protocole à suivre si la vaccination a déjà été réalisée (même après plusieurs mois)
Isothérapie 200 K : une dose lorsque vous avez le produit.
Isothérapie 10.000 K : une dose une semaine après.
En cas d’effet indésirable lié au vaccin, continuez l’isothérapie 10.000 K à raison d’une dose toutes les semaines. Puis espacez les prises à tous les 15 jours, puis tous les mois, au fur et à mesure de l’amélioration des troubles, jusqu’à leur possible disparition.
En conclusion
L’isothérapie apporte un « plus » contre les effets pervers des vaccins, sans forcément toujours les annuler. Nous manquons de recul pour cela. Elle ne dispense pas des autres mesures qui ont été évoquées dans l’article indiqué précédemment, notamment l’élévation de son niveau vibratoire.
Luc Bodin