Les vaccins, un problème de rapport : bénéfices / risques
Les vaccins sont responsables d’effets indésirables à court, moyen et long terme, comme des syndromes de Guillain Barré, des scléroses en plaques, des syndromes neurologiques, des infections récidivantes, des allergies… qui ne sont pas reconnus par la médecine officielle. Fort heureusement, il existe des antidotes homéopathiques qui peuvent limiter non pas l’effet du vaccin sur la maladie, mais ses effets secondaires indésirables à long terme…
Par contre, ces remèdes ne sont pas efficaces sur la fièvre, la douleur au point d’injection, les courbatures et la fatigue qui sont des effets logiques et immédiats.
Les remèdes homéopathiques sont indiqués pour détoxiquer l’organisme des toxines apportées par le vaccin ce qui le renforcera, mais aussi pour stimuler le système immunitaire.
Il est conseillé de prendre ces antidotes au moment de la vaccination. Il est cependant possible de les prendre à distance : quelques mois, voire de nombreuses années après la vaccination notamment si un problème est apparu dans les suites. Ils peuvent permettre des améliorations de l’état général de la personne, même à distance.
Les remèdes homéopathiques pour limiter les effets indésirables
- Pour les vaccinations usuelles, prendre :
– Thuya 9 CH : 1 dose la veille (ou le jour) de la vaccination.
– Thuya 9 CH : 1 nouvelle dose le dimanche suivant (1er dimanche).
– VAB 15 CH : 1 dose le dimanche d’après (2e dimanche).
– Silicea 15 CH : 1 dose le dimanche d’après (3e dimanche).
Ces trois doses suffisent pour les vaccins habituel : BCG, DTCP, Pentacoq.
2. Pour les autres vaccins, il faut ajouter le 4e dimanche, selon les cas :
- Tétanos : Natrum Muriaticum
- Grippe : Influenzinum
- Poliomyélite : Gelsemium
- Diphtérie : Mercurius Solubilis
- Hépatite B : Phosphorus
- BCG : Nux Vomica
- Chloléra : Sulfur
- Fièvre jaune : Cadmium Sulphuratum
- Rougeole : Morbillinum
- Thyphoide : DTTAB
- Variole : Vaccinotoxinum.
Le remède sélectionné sera utilisé en 9 CH : 1 dose le 4e dimanche.
La posologie est identique pour un nourrisson ou un adulte. Cependant pour les nouveaux-nés et les jeunes enfants, il est préférable de faire fondre les doses dans un peu d’eau de source et de leur donner à boire dans un biberon au cours de la journée par petites quantités.
Ce traitement peut être poursuivi pendant plusieurs mois si besoin… en continuant d’alterner les trois ou quatre doses… et cela jusqu’à nette amélioration des troubles présentés. Arrivé là, il faudra les continuer, mais en espaçant les remèdes : une fois tous les 15 jours puis tous les mois, au fur et à mesure que les troubles s’amenderont.
Luc Bodin