Commencer par poser le diagnostic
Une fois le diagnostic de « crampe de l’écrivain » posé (voir l’article : « Les symptômes de la crampe de l’écrivain« ), plusieurs solutions thérapeutiques sont possibles :
Le traitement conventionnel de la crampe de l’écrivain
Le traitement conventionnel consiste habituellement en des injections de toxines botuliques dans les muscles concernés pour éviter leurs contractures. Celles-ci sont efficaces dans deux tiers des cas.
Des séances de kinésithérapie et l’usage de la main controlatérale pour l’écriture constituent d’autres solutions à envisager.
Les traitements naturels contre la crampe de l’écrivain
Les thérapies naturelles s’attachent à réparer les nerfs atteints à l’aide de certains nutriments comme :
- les vitamines B et D,
- le magnésium,
- le zinc,
- les acides gras oméga 3,
- la lécithine,
- la choline…
Un bilan ostéoarticulaire complet depuis les vertèbres cervicales jusqu’aux doigts, retrouve souvent un blocage nerveux dont la levée solutionne le problème.
L’acupuncture, la sophrologie, l’EFT, les soins énergétiques mais aussi les traitements à visée circulatoire comme le ginkgo biloba, sont à tenter sans hésitation parce que ces techniques peuvent apporter des solutions dans les cas difficiles.
La symbolique de la crampe de l’écrivain
Enfin, il est intéressant de rechercher la symbolique de ce phénomène : pourquoi le corps refuse d’exécuter cet acte d’écriture. Est-ce un abus d’écriture ? Une écriture sans intérêt ? Ou encore, est-ce qu’au lieu d’écrire sa vie, la personne ferait mieux de la vivre ?
Luc Bodin