L’incontinence urinaire, un problème souvent caché
L’incontinence urinaire touche de nombreuses personnes surtout avec l’âge. Les grossesses et la ménopause expliqueraient pourquoi les femmes sont plus touchées. Les problèmes prostatiques surtout après les interventions chirurgicales sont aussi responsables de ce genre de problème.
Certains médicaments anticholinergiques sont souvent prescrits en cas d’incontinence urinaire. Mais ils sont riches en effets indésirables comme la sécheresse de bouche, la constipation… mais aussi des troubles cognitifs.
Une rééducation réalisée par un kinésithérapeute est conseillée mais a souvent un effet limité, ce qui laisse les patients dans le désarrois.
Les bains dérivatifs, une solution souvent efficace mais méconnue
Mais, il y a beaucoup de témoignages de réussite avec les bains dérivatifs dans cette indication. Cette technique est simple et gratuite. Elle consiste à refroidir la région périnéale, les organes génitaux, l’entre-jambes et les aines avec de l’eau fraiche ou mieux avec des poches de gel pendant 2 ou 3 heures.
Le principe des bains dérivatifs est qu’ils stimulent la circulation de la lymphe, des graisses et du sang dans le corps, ce qui permet de réguler l’ensemble des processus du corps : hormone, immunité, élimination des déchets, régulation des rétentions d’eau, système neurovégétatif, etc…
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D’autres approches sont également intéressantes
La sécheresse vaginale est un problème fréquent liée au stress, l’anxiété liée aux rapports sexuels, aux dérèglements hormonaux ou à la ménopause. Son traitement contribue à améliorer l’incontinence urinaire.
Le silicium organique, le magnésium, la vitamine C, le zinc et les antioxydants tonifient les tissus et les sphincters. Ainsi, ces nutriments peuvent apporter une amélioration dans cette indication.
L’acupuncture, l’EFT, la méthode AORA, les soins énergétiques et la sophrologie produisent souvent de bons effets.
Luc Bodin