Peurs, doutes, angoisses et déprimes
Beaucoup d’entre nous se sentent secoués en tous sens par les événements actuels, les obligations instaurées et les intolérances rencontrées.
Je reçois un grand nombre de messages de personnes qui sont perdues actuellement. Cela se comprend et il faut savoir que c’est normal et logique. Comme on dit : « Se sentir équilibré dans une société qui ne l’est pas, n’est pas un signe de bonne santé » .
Je ne peux pas répondre à toutes les demandes tant leur nombre est important. J’en suis désolé. Je vais essayer de les aider par cet article.
Division et intolérance
La population se retrouve une nouvelle fois divisée entre ceux qui ont fait la pikure pensant que ça va résoudre la situation, ceux qui l’ont faite sous la contrainte pour leur travail ou autres, ceux qui regrettent de l’avoir faite et ceux qui ne la veulent pas.
Il est sûr que les variants se succèdent ainsi que les pikures…. « On » parle déjà de confinement pour les fêtes , de 6e vague en janvier et d’une 4e injection… Nous savons que les nouveaux germes sont peut-être plus contagieux, mais de moins en moins virulents comme l’ont prédit nombre de virologues.
Tout cela pour dire, que le choix se résume entre prendre le risque d’attraper l’infection ou réaliser les pikures successives. C’est à chacun de décider de ce qu’il veut introduire ou non dans son organisme. Ceci constitue à mes yeux une liberté fondamentale (inaliénable) de tous les individus.
Mais avant de décider, il est important d’écouter les opinions diverses et non uniquement gouvernementales. De nombreux sites évoquent le problème. Voyez peut-être celui du Doctothon si vous ne l’avez pas encore fait, parce qu’il donne l’opinion de 300 médecins, soignants et scientifiques sur le sujet.
Que faire dans de telles situations ?
Quel que soit le choix que vous avez fait, la première chose à considérer, c’est que les personnes intransigeantes sur leur opinion croient bien faire en tentant de vous l’imposer. Il ne faut pas l’oublier même si quelquefois elles ont perdu leur bon sens et que les mots débordent leurs pensées.
Il n’y a pas à répondre à cela, du moins pas sur le ton de la vindicte. Il convient simplement d’exprimer votre opinion tout en respectant celui de l’autre. Si ce n’est pas possible (personne ne voulant rien entendre), passez votre chemin… vous perdez votre temps.
Ce genre de situation, surtout si elle est faite par des personnes que vous aimez, vous fait du mal. Il convient alors de réfléchir à ce qu’elles ont énoncé même si c’était sous le coup de la colère… en vous replaçant dans votre être… en vous reconnectant à votre cœur. Il faut savoir que ce n’est pas parce qu’un grand nombre de personnes pensent un certaine chose qu’elles ont forcément raison… L’histoire fourmille d’exemples de ce genre…
Recentrage, réflexion, méditation et amour
Si ce que vous a dit une personne vous fait du mal, c’est que sa réflexion a touché une partie sensible de votre être. Sinon elle n’aurait eu aucun impact sur vous… Ceci constitue donc une bonne occasion pour vous d’éliminer cette souffrance.
Il convient ensuite d’effectuer un travail intérieur en commençant par pardonner à la personne de vous avoir fait souffrir. Ceci sera plus facile si vous comprenez qu’elle a pensé bien faire.
Ensuite, réfléchir… savoir vous remettre en cause… déterminer si la décision que vous avez prise, vous semble toujours juste et bonne. La réponse se trouve autant dans votre esprit que dans votre cœur.
Enfin, retrouvez votre calme, retrouver votre paix intérieure, en nous connectant à votre être, en méditant, en allant dans la nature, en priant… pour demander l’éclairage et l’aide des forces de Lumière…
Rappelez-vous que vous n’êtes jamais seul(e). Des Êtres merveilleux se trouvent toujours à vos côtés si vous le leur demander… De plus, de nouvelles énergies arrivent. N’oubliez pas de votre connecter à elles (en les appelant) pour qu’elles remontent vos vibrations qui ont tendance à baisser dans ce genre de situations.
Le temps et les événements nous apporteront les réponses.
En attendant : patience, tolérance et amour…
Luc Bodin