La pensée de l’homme a une puissance extraordinaire. Mais il n’en a pas conscience. Pourtant, de nombreuses preuves l’accréditent.
L’effet placebo
La preuve nous est donnée par l’effet placebo qui à lui seul, induit 30 % de l’effet bénéfique de toutes les thérapies. Cela peut même monter jusqu’à 50 à 60 % dans certains cas.
Or ce n’est que l’esprit de la personne grâce à sa confiance en son traitement (et son thérapeute), qui produit ce résultat sur son corps. Le médicament et le médecin ne sont que des supports.
Ceci démontre combien la pensée agit sur le corps.
Les effets de l’hypnose sur le corps
Un autre exemple nous est fourni avec l’hypnose (ou la sophrologie), où le thérapeute passe des inductions (messages) à la personne alors qu’elle se trouve en état modifié de conscience, afin que son corps les exécute.
Les douleurs, les dépendances aux drogues et les saignements disparaissent alors comme par enchantement. Mais qui a réalisé cette prouesse ? Ce n’est pas le thérapeute, il n’a fait que passer le message. C’est ici encore l’esprit de la personne qui a reçu le message en état sophronique (état modifié de conscience), qui a commandé à l’organisme la réalisation de l’ordre reçu.
Les exemples affluent
L’effet de la pensée a été très joliment mis en évidence avec les travaux d’Emoto. Il a montré – photos à l’appui – qu’un simple mot comme « amour » ou « haine » était capable de produire des cristallisations différentes de l’eau. En poussant plus loin ces recherches, il a aussi établi que la pensée pouvait produire le même résultat.
Les exemples affluent confirmant l’action de la pensée sur la matière. C’est ainsi que la pensée du chercheur perturbe les résultats des expériences effectuées en physique quantique… ce qui pose bien des problèmes à la recherche.
D’autres expériences ont montré que des cellules isolées du corps humain (spermatozoïdes ou globules blancs) réagissaient aux émotions de leur donneur alors que celui-ci s’était éloigné de plusieurs kilomètres. Les cellules demeuraient donc connectées à la personne donneuse.
Les bienfaits de la prière
La prière est un autre exemple troublant. Une étude de l’Américan Médical Association effectuée sur 990 cardiaques à l’hôpital de Kansas City a démontré que « la prière accélère la guérison ». Pour cela, les chercheurs ont confié la moitié de ces cardiaques aux prières de personnes issues de diverses religions. Ils ont ensuite constaté qu’il y avait moins de complications dans ce groupe de malades que chez les autres qui n’avaient pas bénéficié de ce « traitement ».
Une autre étude a concerné un groupe de femmes traitées pour stérilité. Les fécondations in vitro (FIV) chez les femmes bénéficiant des prières, ont connu deux fois plus de succès que les autres : 50% contre 26%.
Le Professeur Benson de l’université d’Harvard, qui s’est beaucoup intéressé aux effets de la prière, estime que les patients qui répètent souvent des prières, sont capables de déclencher des changements bénéfiques dans le fonctionnement de leurs organes.
La pensée positive et la visualisation
Il est possible aussi d’évoquer les effets bénéfiques obtenus par beaucoup de personnes malades, avec les techniques de pensées positives et avec celles de visualisation qui ont été mises au point par le Dr Carl Simonton.
La puissance de la pensée est ainsi évidente
Tous ces exemples démontrent que la force de la pensée est capable d’agir sur le corps. Il est très étonnant et très dommage que la médecine ne s’intéresse pas davantage à ces possibilités pour ses traitements.
Mais évidemment, l’effet psychique ne répond pas aux règles scientifiques. Il est aléatoire et n’est pas reproductible à loisir… Pourtant, il est là, présent… et de nombreuses études l’accréditent… n’en déplaise à certains.
Luc Bodin